Les banques de céréales ont-elles fait banqueroute ?
86 pages
Deutsche Gesellschaft für
Technische Zusammenarbeit (GTZ) GmbH
Doris Günther
Otto Mück
Perspectives et limites d'un modèle villageois de sécurité
alimentaire au Sahel
Eschborn 1995
Publié par:
Deutsche Gesellschaft für Technische
Zusammenarbeit (GTZ) GmbH,
OE 423-2, Postfach 5180,
D-65726 Eschborn
Responsable:
Projet: "Protection des stocks et des récoltes"
Traduction:
Jean-Noël Rannou
Illustrations:
Sauf mention contraire:
Projet "Protection des stocks et des récoltes"
Layout:
Claudia A. Herok
Imprimé par:
TZ-Verlagsgesellschaft mbH
I/1095/0,5
Imprimé en République Fédérale d'Allemagne
Tous les droits réservé
1. En guise d'introduction. Une histoire vraie ou «La plus belle maison du village»
2. Les banques de céréales: vite construites, mais difficiles à gérer
2.1 Les origines
2.2 Les conceptions des bailleurs de fonds
2.3 La réalité
2.4 Un premier bilan
3. Le point de vue des opposants fondamentaux: «Ça ne pourra jamais marcher !»
4. Le point de vue pragmatique: «Nous avons commis une quantité d'erreurs»
5. Les conditions globales: Pour une banque de céréales, la clé de la réussite
5.1 Besoins / demande
5.2 Environnement social
5.3 Ressources humaines
5.4 Ressources matérielles
5.5 Conditions techniques et organisation
5.6 Stockage et protection des stocks5.6.1 L'entrepôt
5.6.2 Hygiène et techniques de stockage
5.6.3 Lutte antiravageurs
6. Deux approches différentes: Quel est le meilleur moyen de paiement ? L'argent ou les céréales ?
6.1 L'approche du Burkina Faso: les projets céréaliers
6.1.1 Intégration de banques de céréales dans des caisses d'épargne et de crédit de village
6.1.2 Points critiques6.2 L'approche malienne: les greniers de prévoyance
6.2.1 Des banques de céréales fonctionnant sur la base de crédits en nature
6.2.2 Points critiques
7. Calculs types de rentabilité
8. Conclusions: quelles conséquences peut-on tirer de ces observations ?